« Londres, fin du XIXe siècle. Qui est réellement Joseph Merrick, celui qu'on surnomme "l'Homme-Elephant" ? Homme ou bête ? Monstre de foire ou curiosité scientifique ? Une simple anomalie de la nature ou... un dieu ? Lorsqu'il rédige ses "Mémoires", il n'a pas trente ans et réside depuis quelque temps à l'hôpital de Whitechapel sous la protection du médecin Frederick Treves. Un refuge qui lui permet d'observer les splendeurs et les misères de la capitale, et de mener l'enquête : quatre affaires, précisément, soit autant que de saisons dans une année. De leur résolution dépendra peut-être plus que son destin, car " le monde s'efface dans les rêves de l'éléphant..." Récompensé en 2000 par le Prix Fantastic'Arts du Festival de Gérardmer, ce roman fantastique et troublant a séduit un large public. Racontant la dernière année du célèbre "Elephant Man", il témoigne de la richesse et de l'inventivité de l'imaginaire français. »
Telle est la quatrième de couverture du roman Les Mémoires de l'homme-éléphant, rebaptisé depuis Ganesha. Un livre désarçonnant pour sa faculté à jouer avec l'étrange, la littérature populaire, le monde de la foire, les apparences et ce que l'on trouve sous la surface... Il pose les prémices de toute l’œuvre de Xavier Mauméjean.
Si ce roman est à découvrir absolument, l'auteur de ces lignes ne peut que vous inviter à dévorer toute la bibliographie de l'auteur. Parmi les livres, on citera, par pure subjectivité, Le Cycle de Kraven, Rosée de feu, La Vénus anatomique et, surtout, American Gothic.
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